Il peut arriver qu’un candidat que vous souhaitez ajouter à votre sourcing soit déjà présent dans un autre sourcing sur Kalent, que ce soit dans le vôtre ou celui d’un autre recruteur de votre équipe.
Pas de panique, on vous explique comment ça fonctionne :
Kalent centralise les données pour éviter les doublons
Kalent est conçu pour vous faire gagner du temps et éviter les doublons inutiles. Quand un candidat est déjà présent dans la base de données Kalent, nous vous le signalons automatiquement.
Vous verrez alors une alerte indiquant que ce candidat fait déjà partie d’un sourcing existant, avec le nom du sourcing concerné.
Plusieurs options s’offrent à vous
En fonction du contexte, vous avez plusieurs possibilités :
Consulter la fiche candidat
Vous pouvez accéder à la fiche du candidat pour voir :
Ses informations (CV, LinkedIn, coordonnées, notes…)
Le statut de ses candidatures en cours
Les commentaires laissés par vos collègues
Cela vous permet de décider rapidement si vous devez relancer ce candidat, collaborer avec un autre recruteur, ou simplement passer à un autre profil.
Ajouter le candidat à votre propre sourcing
Oui, c’est possible ! Même si un candidat existe déjà dans un autre sourcing, vous pouvez tout à fait l’ajouter dans le vôtre. Sa fiche sera rapatriée dans votre sourcing.
Vous créez votre propre historique d’échanges
Vous le faites avancer à votre rythme dans le process
Vous ne perturbez pas le suivi de votre collègue
Il suffit alors de cliquer sur "transférer" et votre collègue recevra une notification de votre demande qu'il devra accepter pour finaliser le transfert.
Éviter les relances multiples
C'est pour cette raison qu'un candidat ne peut être présent dans 2 sourcings en même temps.
Si vous voyez que le candidat est déjà en discussion active avec un autre recruteur, il est parfois préférable de :
Lui laisser un peu de temps
Ou vous coordonner avec votre collègue pour unifier la prise de contact
Kalent permet une vraie transparence d’équipe, tout en respectant les initiatives individuelles.

